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Explorez notre galerie de portraits

La perspective d’un progrès viable passe par une approche holistique avec les technologies au cœur d’une transformation orchestrée par l’humain. C’est cette approche, que nous avons exprimée en 6 tendances, qui nous mènera vers de SustAInable Futures.

Découvrez ici deux fois par semaine de nouveaux portraits de visionnaires qui ont pris le chemin de chacune de ces tendances. Ils ont su, par leurs idées et avec l’aide d’outils numériques et d’IA, repenser notre manière de collaborer, protéger notre planète et construire des espaces de confiance. Ils s’ouvriront à nous à travers 3 questions. Et qui sait…peut-être aurez-vous l’occasion d’approfondir l’échange avec certains d’entre eux sur notre stand à VivaTech !

Merging Worlds

Nous assistons à un point de convergence technologique unique, marquant le début d'une ère de réalité mixte. Alors que les promesses du métavers sont encore à démontrer, les composantes technologiques essentielles à son émergence se développent à un rythme soutenu.

Sarah LELOUCH

La Diversité du Cinéma Français

Née et élevée dans l'univers du cinéma, Sarah a quitté en 2005 une carrière en tant que journaliste et présentatrice de télévision pour lancer la société de production Watch'us. En 2021, elle entreprend une nouvelle aventure en montant La Diversité du Cinéma Français.

La DCF c’est une start-up qui, grâce au Web3 et au soutien de professionnels connus et reconnus de l’industrie, offre à l’industrie du cinéma français un nouveau mode de financement. Il permet de faire émerger de jeunes talents et de produire des films proches du public, proches de notre histoire et de nos valeurs communes.

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu la Diversité du Cinéma Français ?

J’ai toujours trouvé l’étape du développement d'un film, qui inclut l'écriture du scénario, le casting et l'estimation budgétaire, passionnante mais elle est aussi longue et mal rémunérée. Il faut environ 3 ans pour développer un film, et seul 1 film développé sur 10 voit le jour. Ce travail représente à peine 3% du budget total d'un film, forçant les auteurs à avoir une autre activité. Mais comme, avec un coût moyen de 150K, c'est la seule prise de risque financière du producteur, il se garantit d’avoir des auteurs expérimentés (délaissant les jeunes talents) et recherche des aides qui sont presque entièrement réservées à des films d’auteur ou indépendants. Pour changer cela et soutenir les jeunes talents, j'ai envisagé le Web3 et la blockchain comme solutions d’accès aux ressources financières et humaines nécessaires au développement de films grand public ou populaires, augmentant au passage leurs chances de succès.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Le Web3 révolutionne le financement du cinéma. Notre interface en développement www.clapaction.com permet au « tout-venant » de proposer des idées. En 18 mois, nous avons reçu plus de 600 projets et un board de professionnels, présidé par Julie Gayet, a choisi les 6 meilleurs, dont 3 de jeunes auteurs. J'ai lancé une cryptomonnaie qui a permis d’en financer le développement. Dès septembre, ClapAction engagera même le grand public, professionnels comme amateurs, de l’idéation à la sortie des films, augmentant nos revenus via la monétisation des communautés et la vente de données. Le vrai premier producteur d’un film, c’est le public et pourtant on ne lui demande jamais son avis. Il est temps que ça change. De plus, grâce à la blockchain et aux NFT, nous lançons une marketplace pour acheter des objets uniques des films (costumes, décors…), qui peuvent prendre de la valeur avec le temps et le succès.

3/ A l’avenir, pas d’IA sans… ?

Je dirais avant tout « pas d’avenir sans IA » et malheureusement ceux qui luttent contre perdent du temps. Mais pas d’IA sans Humain. L’IA et les nouvelles technologies ne remplaceront jamais les talents. Au contraire, elles offrent aux créateurs de contenus des moyens innovants pour développer leur art. C’est un formidable outil d’idéation. Par exemple, sur clapaction.com, quand vous déposerez votre projet/idée avec votre titre, votre genre, votre pitch et les comédiens de vos rêves, l’IA générera automatiquement une affiche qui, couplée à la blockchain, devient un NFT. Et pour toutes celles et ceux qui écriront leur premier scénario, l'IA est aussi une aide précieuse avec des outils comme Genario (logiciel assistant d’écriture de projets). Donc l’avenir sans IA est inconcevable. En revanche, elle ne remplacera jamais l’imagination ni l’intelligence collective, tout aussi précieuses. D’où clapaction.com que je considère un peu comme étant une « IA humaine ».

Athénaïs OSLATI

Ontbo

Ontbo est une entreprise deeptech qui développe des intelligences artificielles basées sur la mesure et l’analyse des émotions des utilisateurs pour proposer à ces derniers des expériences hyper-personnalisées.

Comment ? En fusionnant la détection des émotions en temps réel, la psyché numérique et la prédiction au sein de notre solution de pointe, par le biais d'API interopérables.

Les secteurs adressés sont la banque, le sport, le retail (luxe et cosmétique) ou encore le divertissement.

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu Ontbo ?

Ontbo c’est avant tout un constat : les marques ne connaissent pas ou mal leurs clients. En automatisant les échanges (chatbots, serveurs vocaux) et en collectant des données en masse inexploitées ou génériques, la digitalisation a éloigné les marques de leurs clients au lieu de les en rapprocher. Chaque année, cet appauvrissement de l'expérience client coûte aux marques près de 800 milliards de dollars. Ce constat vient d'une expérience personnelle : ma plateforme d’écoute me proposait des recommandations musicales inadaptées, résultant d'algorithmes se basant sur des persona incapables de cerner mes préférences réelles. Ce travers touche beaucoup de secteurs. C’est ce qui m’a poussée à créer Ontbo, une IA empathique éthique capable d’identifier et de tenir compte des émotions des utilisateurs, pour aider les marques à proposer à leurs clients des expériences hyper-personnalisées en temps réel.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Comme la plupart des avancées technologiques, l’IA peut être utilisée pour le meilleur comme le pire. Pour participer à la construction de « SustAInable futures », Ontbo, a développé une IA éthique qui combat les biais algorithmique et sociétal. Dès le début, Ontbo s’est engagé – à travers une charte- à développer une IA éthique basée des données cryptées, anonymisées, placées sur des serveurs sécurisés en France et développés par des sociétés européennes. Nous traitons également les anomalies dans le cycle de vie des modèles d'IA, pour éviter que les biais n'affectent la qualité des résultats et n'exacerbent les discriminations sociales et économiques.

3/ A l’avenir, pas d’IA sans… ?

Pas d’IA sans humain ni éthique, c’est dit. C’est très consensuel de dire cela mais je suis convaincue que la première bataille de l’IA est celle de la confiance. Sans garantie d'une IA réglementée, comment gagner la confiance des utilisateurs face aux risques comme les deepfakes ou la manipulation d'information ? Le 21 avril 2021, l’UE a proposé le premier cadre réglementaire pour l'IA, reconnaissant que des biais non contrôlés peuvent avoir de grands impacts sociétaux et influencer la manière dont nous prenons des décisions et interagissons avec la technologie. Le déploiement rapide de l’IA soulève également des préoccupations éthiques et juridiques anticipées par Ontbo (protection des données personnelles, équité, transparence et sécurité). Ces verrous requièrent une vigilance constante pour offrir aux utilisateurs des technologies durables.

Retrouvez-la sur notre stand G28, Hall 1 à VivaTech

  


Proof of Trust

Face à l'inévitable augmentation des intrusions cyber et la complexité croissante des menaces, renforcées par l'avènement de l'IAG et des IoT, les entreprises doivent évoluer vers une culture de résilience et de confiance.

Julien MARDAS

Buster.ai

Buster.ai est l'antidote à l'ère des deepfakes et de la désinformation par les IA génératives. Capable d'ingérer plus de 3 millions d'articles par jour pour une veille sociale et médiatique sans précédent, elle redéfinit les standards de l'information fiable et sécurisée.

Imaginez un monde où chaque information est analysée, chaque menace est détectée, et chaque fausse nouvelle est neutralisée avant même de se propager. C'est le monde que Buster.AI crée pour vous. 

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu Buster.AI ?

Dès l'enfance, j'ai compris l'énorme responsabilité de l'information de masse et les risques liés à la désinformation, qui peuvent entraîner guerres, crises sanitaires, instabilités financières et pénuries de ressources. Les médias, convergent souvent vers les mêmes sources, pouvant altérer les récits selon leurs lignes éditoriales biaisées. Avant l’avènement de la data, l’information était très frugale. Avec l'ère numérique, la distinction entre vrai et faux s'est complexifiée, mettant en péril la connaissance, le libre arbitre, la santé, la stabilité politique et géopolitique, et la même la démocratie. L’émergence de l’IA générative a confirmé ces craintes, c’est pourquoi j’ai créé des IA pour combatte les IA qui présenteront des risques informationnels et sécuritaires.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Je ne conçois pas que les futures générations héritent d'un monde où la démocratie serait menacée par des informations manipulées ou censurées, provoquant des conflits. La méfiance envers les médias traditionnels pousse le public à privilégier les réseaux sociaux, où chacun peut s’improviser journaliste d'investigation. Mais l'abondance d'informations sur ces canaux ne va pas de pair avec leur fiabilité. Les réseaux sociaux sont devenus la principale source d'information, même pour les médias. Nous devons nous adapter à cette nouvelle réalité, car ce sont les piliers de la liberté d'expression, essentielle en démocratie. C'est pourquoi l'IA était pour moi la solution pour appliquer la rigueur de l'International Fact-Checking Network, tout en traitant des quantités de données qu'un humain ne pourrait assimiler. Avec Buster.Ai, une meilleure information dessine un avenir durable.

3/ A l’avenir, pas d’IA sans… ?

L'humain, la transparence et l'éthique ! L'être humain doit rester au centre. Je ne crois pas que l'IA nous remplace à court ou moyen terme. Nous avons des qualités différentes et complémentaires, et l'IA se nourrit de notre diversité. Dans un monde où les IA se gèreraient seules sans interaction humaine, elles dégénéreraient inévitablement, perdant en variété et en créativité, domaines où l'humain excelle. On se méfie de l'IA comme de toute nouveauté, mais elle est notre reflet : gérée et alimentée de manière éthique, elle sera juste, impartiale et respectera la vie privée, permettant ainsi une prise de décision éclairée. C'est pourquoi la transparence est cruciale : l'open source est essentiel pour permettre une intégration fluide de l'IA dans les cas d'usage des entreprises.

Retrouvez-le sur notre stand G28, Hall 1 à VivaTech

  


Tech for Sustainability

Confronté aux défis globaux de durabilité, le monde cherche dans la technologie un catalyseur de changement positif. L'exploitation des avancées numériques, de l'intelligence artificielle à l'internet des objets, pour soutenir des solutions durables à travers les secteurs, illustre cette quête.

Martin GUILLAUME

Green PRAXIS

Green PRAXIS propose des solutions basées sur les données et la science pour gérer durablement les actifs naturels. Grâce à leur outils et modèles, les organisations qui exploitent des infrastructures (réseaux de transport, installations énergétiques, villes) peuvent réduire à la fois leurs coûts et leur impact sur l'environnement. Les quatre domaines qu'ils modélisent sont la biodiversité, l'empreinte carbone, les coûts et les risques. La bonne combinaison de flore, de faune et de micro-organismes peut créer un écosystème capable de réduire les coûts et les risques d'exploitation.

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu Green Praxis ?

Notre monde est de plus en plus polarisé entre les partisans de la croissance et ceux de la préservation de la nature. Face au déclin de la biodiversité, j'ai ressenti le besoin d’agir pour contribuer à l’identification de solutions concrètes. Conscient du potentiel de la science des données pour trouver des compromis efficaces, j'ai décidé de faire équipe avec Jérôme, mon cofondateur. Il est docteur en biologie. Ensemble, nous avons réuni une équipe de data scientists et de docteurs en sciences de la vie talentueux pour relever le défi que nous nous sommes donnés. Notre mission est de guider les entreprises dans la gestion durable des actifs naturels et la sauvegarde de la biodiversité.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Notre plateforme d'analyse de données et de sciences de la vie révolutionne la manière dont les développeurs et les opérateurs d'infrastructures relèvent les défis environnementaux. Notre priorité est de développer et de mettre en œuvre des stratégies d’utilisation de Solutions Fondées sur la Nature qui préservent la biodiversité, minimisent les risques et l'empreinte carbone, et sauvegardent les intérêts financiers de nos clients. Notre approche multidimensionnelle fondée sur la donnée fournit une justification solide pour agir ("Praxis” veut dire action en grec). La combinaison convaincante consiste à réduire simultanément les coûts et l'impact sur l’environnement. C’est particulièrement vrai pour des entreprises qui gèrent de vastes propriétés foncières come Vinci, Véolia ou Total Energies Renouvelables. Cette approche s'aligne à la fois sur leurs objectifs économiques et d’adaptation de notre société aux conséquences du réchauffement climatique.

3/ A l’avenir, pas d’IA sans… ?

Si les technologies alimentées par l'IA nous permettent d'analyser et modéliser des vastes zones et de multiples combinaisons, il est essentiel de souligner le rôle crucial de la supervision des écologues. Leur expertise est nécessaire pour assurer une cohérence globale des approches; et même d'interpréter des aspects qui n’auraient pas étés correctement pris en compte ou modélisés. Une approche collaborative qui associe la puissance des technologies d'IA à la supervision humaine permet de s’affranchir d’erreurs ou de parti-pris. Les travailler ensemble permet d'établir une constance d’analyse sur de vastes zones, ou entre plusieurs projet. On peu ainsi parvenir plus vite à des compromis plus intelligents … et fondés !

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AI Everywhere

La démocratisation des intelligences artificielles, et leur accélération, impactent l'ensemble de la chaîne de valeur des entreprises. Cette transition vers l'IA, soutenue par des modèles de plus en plus généralistes, facilite l'intégration de solutions innovantes dans les opérations et les processus métiers, nécessitant une collaboration étroite entre les équipes techniques et les divisions métier.

Julien Le Dreff

Les EnthousIAstes

Les EnthousIAstes est un Club de réflexion et Bureau de tendances sur les impacts métiers de l’IA, fondé par Etienne Lecoeur et Julien Le Dreff et dont Catherine Barba est la marraine. Il réunit à l’heure actuelle une centaine de décideurs pour appréhender collectivement et de manière positive les nombreux enjeux et impacts organisationnels de l’IA pour 4 fonctions clé de l'entreprise : RH, IT, Finance et Marketing

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu le club les enthousIAstes ?

Les EnthousIAstes naissent d'un constat : l'évolution fulgurante de l'IA est pour le monde de l'entreprise une révolution comparable à celle de l'avènement d'internet au début des années 2000. Tous les métiers vont devoir s'adapter et donc repenser les modes d'organisation, intégrer de nouvelles compétences et maîtriser des solutions technologiques innovantes. Notre club agit comme un phare dans ce paysage en mutation puisque c’est à la fois un espace de réflexion et un bureau de tendances pour les entreprises et leurs directions métiers. Nous réunissons pour la première fois plusieurs fonctions (RH, Marketing, Finance, IT) autour des sujets IA pour avoir une démarche d’intelligence collective interprofessionnelle ! L’année du club est rythmée par des think tanks et des rencontres de networking, et par la publication de notre grande étude nationale "Trends of AI" menée en partenariat avec KPMG.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Notre nom en dit long : nous privilégions une approche positive des impacts de l'IA sur les métiers de demain, sans pour autant occulter les défis et les risques potentiels. C'est également ce qui a plu à nos soutiens #FiPLus #CMIT #LeLabRH et #ANDSI : adresser sereinement le sujet de l'IA, sans précipitation et avec concertation. Notre approche est équilibrée et intègre les préoccupations éthiques, sociales et environnementales liées à l'IA. C’est assez mécanique, en stimulant une réflexion constructive, en sensibilisant les acteurs économiques aux enjeux de l'éthique dans l'IA et en encourageant l'innovation orientée vers des solutions durables, nous participerons activement à la création d'un avenir meilleur pour tous.

3/ A l’avenir, pas d’IA sans… ?

Sans Humain, bien évidemment ! Nous sommes convaincus que l'IA ne doit pas être perçue comme un substitut à l'humain, mais plutôt comme un allié précieux dans l'évolution des métiers. Notre vision consiste précisément à libérer le potentiel humain en déchargeant les professionnels des tâches routinières et répétitives, pour qu'ils puissent se concentrer sur des missions à plus forte valeur ajoutée. Il faut une collaboration harmonieuse entre l'IA et l'humain pour avoir une approche inclusive et éthique de la technologie, qui place toujours l'humain au cœur de l'innovation et du progrès.

Laurent Daudet

LightOn

Plus qu'une simple entreprise, LightOn se positionne comme un partenaire stratégique. Dans un contexte où l'IA générative prend le devant de la scène, la souveraineté de l'IA devient un enjeu crucial.

Grâce à son modèle Alfred et sa plateforme Paradigm LightOn fournit aux grandes entreprises et aux institutions publiques des solutions d'IA générative efficaces et sur mesure, facilement intégrables à leur infrastructure, garantissant la confidentialité des données

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Traduction ci-dessous

1/ Why did you imagine/design LightOn?

LightOn was created as a spinoff from university research, as the four co-founders witnessed the era of extreme-scale AI, and the subsequent need for new hardware and software. We initially started with hardware solutions, but quickly pivoted to Large Language Models and their application to Enterprise workflows.

2/ How does your solution contribute to the building of Sustainable Futures?

LightOn is committed to building sustainable futures by focusing on three key areas: Efficient Models: We develop AI models that balance high efficiency and performance with reduced size, minimizing their environmental footprint. Strategic Partnerships: We rely on GPU partners and suppliers who prioritize sustainability, ensuring our technology ecosystem is environmentally responsible. Infrastructure Innovation: We invest in less energy-intensive infrastructure, exploring new technologies that lower energy use while maintaining top performance. In short, LightOn is dedicated to making AI greener through optimized models, careful partner selection, and innovative, low-energy infrastructure.

3/ In the future, no AI without...?

In the future, no AI without data sovereignty. As AI technologies evolve, the importance of managing and controlling one's own data becomes paramount. This concept emphasizes the right of individuals, organizations, and nations to own, protect, and govern their data. Future AI systems will need to be built on principles that ensure data privacy, security, and local governance.

1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu LightOn ?

LightOn a été créé comme un spin-off de recherches universitaires, alors que les quatre cofondateurs assistaient à l'avènement de l'IA à grande échelle, et au besoin subséquent de nouveaux matériels et logiciels. Nous avons commencé initialement avec des solutions matérielles, mais avons rapidement fait le choix des Large Language Models (LLM) et de leur application aux processus d’entreprise.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

LightOn s'engage à construire des SustAInable Futures en agissant sur trois domaines clés : - Modèles Efficaces : Nous développons des modèles d'IA qui allient l’efficacité et la performance et une taille réduite, minimisant ainsi leur empreinte environnementale.
- Partenariats Stratégiques : Nous collaborons avec des partenaires et des fournisseurs de GPU qui privilégient la durabilité, pour nous assurer d’avoir un écosystème technologique responsable sur le plan environnemental.
- Innovation en Infrastructure : Nous investissons dans des infrastructures moins énergivores et restons à l’écoute de nouvelles technologies qui réduisent encore la consommation d'énergie tout en maintenant une performance optimale.
En résumé, LightOn se dédie à rendre l'IA plus verte par des modèles optimisés, une sélection minutieuse des partenaires, et une infrastructure innovante à faible consommation d'énergie.


3/ Dans le futur, pas d'IA sans... ?

Dans le futur, pas d'IA sans souveraineté des données. Avec l'évolution des technologies IA, gérer et contrôler ses propres données devient primordial. Ce concept repose sur le droit des individus, des organisations et des nations à posséder, protéger et gouverner leurs données. Les systèmes d'IA futurs devront être construits sur des principes qui garantissent la confidentialité, la sécurité et la gouvernance locale des données.

Retrouvez-le sur notre stand G28, Hall 1 à VivaTech

  


ResilientEcosystems

Dans le paysage de la transition numérique, propulsé par des technologies émergentes telles que l'IA générative, la blockchain, et les nouvelles réalités, les entreprises reconnaissent l'impératif de former des alliances au sein d'écosystèmes élargis.

Alicia Combaz

Make.org

Make.org est une organisation neutre & indépendante, dont la mission est de favoriser l'implication des citoyens à grande échelle, dans des initiatives qui promeuvent une transformation sociétale positive.

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu Make.org ?

Make.org est née d’une urgence : celle d’agir, de manière positive, lucide, coordonnée aux enjeux sociétaux et environnementaux qui nous font face. Depuis 8 ans, nous créons des espaces de débats, de ré-intermédiation, de mises en action en engageant massivement les citoyen(ne)s. Et ce, au bénéfice de nos démocraties fragilisées.

2/ En quoi Make.org contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

Make.org a mené plus de 100 initiatives dans 30 pays qui permettent à chacun de contribuer à la création d'un futur désirable, indépendamment de son âge ou de son niveau d'étude. Grâce à notre maîtrise technologique, nous avons initié des conversations simultanées en 24 langues à travers l’Europe, ou encore mis en lumière les consensus des citoyens en amont d’élections locales ou européennes. Nos “Grandes Causes” ont permis la mise en œuvre par le Fonds de dotation Make.org de plus de 100 actions pour protéger l'environnement, lutter contre les violences faites aux femmes et aux enfants, ou encore promouvoir une société plus inclusive.
Depuis notre création, plus de 50 personnes œuvrent quotidiennement à créer des futurs désirables, en engageant plus de 50 institutions, 500 associations et 8 millions de citoyens à travers l'Europe.

3/ À l'avenir, pas d'IA sans… ?

…qu’elle ne soit porteuse d’une contribution positive pour nos démocraties ! Au cours des deux dernières années, la montée des conflits mondiaux a engendré une guerre informationnelle de haute intensité dont l’objectif est de déstabiliser les processus démocratiques. Dans ce contexte, l'émergence de l'IA générative accroît le pouvoir de ceux qui cherchent à dé-légitimer nos démocraties. Il est donc essentiel que les institutions, les chercheurs et les experts se saisissent de cet enjeu et créent les conditions d’une contribution maîtrisée de l’IA générative au service d’une démocratie durable. L'IA a le potentiel immense d'améliorer les interactions des citoyens avec les processus démocratiques.
Pour relever ce défi d’une contribution positive de l’IA pour nos démocraties, Make.org a lancé un programme de recherche avec SciencesPo, la Sorbonne et le CNRS, qui sera révélé prochainement.

Juliette Mauro

FemTech France

Créée en 2022, l'association Femtech France a pour ambition de contribuer au développement de projets innovants dans le domaine de la santé des femmes en France et à la réussite des entrepreneur·e·s du secteur. L’association facilite l’intégration de ces projets dans leurs écosystèmes, dans les écosystèmes FemTech, mais aussi dans le débat et l’opinion publics.

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1/ Pourquoi avoir imaginé/conçu FemTech France ?

FemTech France a été créée pour dynamiser le secteur innovant des startups en santé féminine, souvent initiées par des femmes. Ces entreprises se trouvent à l'intersection de l'impact social, de la santé et de l'innovation technologique. Notre collectif, regroupant aujourd'hui plus de 75 startups femtech, vise à soutenir et développer ce secteur crucial.

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures ?

Les entreprises femtech répondent à des besoins de santé exprimés par les patientes, souvent identifiés par celles-ci ou par des professionnels de santé. Elles abordent non seulement les maladies spécifiquement féminines mais aussi des pathologies plus larges où les femmes sont disproportionnellement affectées. Par ces initiatives, les femtech ne se limitent pas à promouvoir la santé des femmes ; elles favorisent également l'équité, l'éducation et la prévention en santé, contribuant ainsi activement à un avenir plus durable et responsable.

3/ À l'avenir, pas d'IA sans… ?

À l'avenir, envisager l'IA sans une intégration significative des femmes serait impensable, tant dans la création de valeur que dans la constitution des bases de données. Le déficit de données de santé spécifiques aux femmes est une problématique majeure que nous affrontons. Les femtechs sont essentielles non seulement pour pallier ce manque en collectant des données cruciales, mais aussi pour innover dans le domaine de la santé féminine avec l'IA.


Green Tech

À l'ère de l'urgence climatique, l'industrie technologique a un double rôle de contributeur aux défis environnementaux et de pourvoyeur de solutions durables. En adoptant des pratiques écoresponsables et en innovant dans l'efficacité énergétique, le secteur s'efforce de minimiser son empreinte écologique, de la conception produit à la gestion des données.

Laurent Chappey et Albane de Maigret

Itinair’bis est l’antithèse de Waze

Une web app gratuite qui génère des itinéraires touristiques, personnalisables et géolocalisables, en fonction des goûts des voyageurs (patrimoine culturel, artisanat, patrimoine naturel, dégustation, activités, marchés locaux).

  • Sa vocation : faire découvrir le patrimoine local en prenant son temps sur les petites routes, car, et c’est sa signature : « Nos petites routes valent le détour ».
  • Forte d’une expertise de 25 ans en création de contenus, elle produit des articles et podcasts inédits afin de valoriser les acteurs du patrimoine et instruire, faire rêver, enrichir les voyageurs.
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1/ Pourquoi avoir imaginé itinair’bis

Post confinement, dans l’impossibilité de partir à l’étranger, les deux grands voyageurs férus de culture que nous sommes, ont décidé de visiter le Val d’Oise au gré des petites routes.
Les panneaux marrons que l’on aperçoit sur l’autoroute ont pris tout leur sens et nous avons pris conscience de la richesse du patrimoine francilien.
Ne trouvant aucune solution proposant des points d’intérêts culturels en itinérance, s’est donc imposée de créer itinair’bis.
Notre vocation : valoriser le tourisme de proximité, transformer les touristes en voyageurs, offrir du contenu culturel original pour ne pas voyager comme des valises, de prouver que : « Nos petites routes valent le détour ».

2/ En quoi votre solution contribue-t-elle à la construction de Sustainable Futures (de futurs désirables) ?

L’effet Covid a profondément modifié les aspirations des Français :
- 69 % désirent faire des découvertes patrimoniales
- 71 % désirent voyager de façon plus durable
- 46 % d’entre eux ne savent pas comment s’y prendre
et en parallèle presque 50 % des Français ne peuvent partir en vacances.
Nous sommes convaincus que le tourisme de proximité est une réponse à ces tendances prégnantes. L’ajout des mobilités douces et intermodales et une facilitation à l’accès la culture sont autant d’atouts pour lutter contre le surtourisme et ses effets néfastes sur l’environnement autant que sur les identités locales. Gain de temps, tout en un, personnalisable, éco et slow tourisme, culture pour tous : telle est notre promesse.

3/ À l'avenir, pas d'IA sans… ?

Optimisation de nos tâches les plus ingrates et chronophages, gain de temps, aide à la rédaction d’un résumé ou chapô SEO… l’IA est indéniablement formidable. Néanmoins, comment remplacera-t-elle la grâce d’un coup de pinceau, le génie d’une association de mots, la musicalité d’une partition, la captation idéale de la lumière par un photographe, la caresse de la glaise d’un sculpteur, le geste accidentel de l’artiste qui va transformer une création banale en chef d’œuvre ?
Artificiel est synonyme de factice, préfabriqué, arrangé…
L’émotion, l’âme, le rêve, la vibration, la poésie, l’invitation à l’imaginaire ne resteront-ils pas l’apanage de l’intelligence spontanée, profonde, sincère et inimitablement propre à l’homme ?